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Le saviez vous, ces monstres et leurs superpouvoirs auraient toujours existés, mais jamais en aussi grand nombre!
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Code par MV/Shoki - Never Utopia
Qui du chat ou de la souris... [mission solo]
Marvel Heroes RPG :: La Terre :: Amérique du Nord :: Etats-Unis :: New York City
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Qui du chat ou de la souris... [mission solo]
La nuit, éclairée par une lune blafarde. Le silence, à peine troublé par de légers bruits de pas. La solitude, chère à son cœur comme une amie d’enfance. Dans la lueur des réverbères, tout semblait figé. Tout était mort.
Liberté.
Pour Akuma, le cadre était parfait pour exécuter la mission qui lui avait été confiée. Tel un spectre fuyant la lumière, le démon filait tout droit jusqu’à son objectif. Son Maître lui avait donné l’ordre de s’occuper du cas d’un homme. Un politique, ou un magnat, elle ne se rappelait plus trop. De toutes façons, elle s’en moquait ; seul importait comment il entrerait à la morgue, c’est à dire les pieds en avant. Si l’on retrouvait jamais son corps, ce qui pouvait être une possibilité. Mais d’abord, avancer.
Ténèbres.
A pas de loup, elle se faufila jusqu’à une rangée d’immeuble un peu plus hauts que les autres. Ils avaient l’air plus récents, aussi, à en juger leur apparence qui n’avait rien à voir avec ceux qu’elle venait de quitter. Elle grimpa dans un arbre, sans quitter l’abri fournit par l’obscurité. Akuma se remémora les mots prononcés par son Maître :
« 1. Opère discrètement. Comme dans toutes les missions, bien entendu, mais c’est là une absolue nécessité, Akuma. Le B.A.-BA de l’assassin – ne fais pas cette moue quand je te parle, je sais que tu le sais ! Autrement dit, pas d’effusions de sang, d’empreintes sur les murs ou de cris de terreur à en réveiller les morts. Même pour faire diversion. Personne ne doit savoir que tu as été là.
2. Ne passe pas par la porte de service, elle sera constamment gardée. Essaye plutôt par une fenêtre, à la dérobée. Celle du troisième étage, la troisième du mur nord, ne sera pas fermée.
3. Et enfin, l’information cruciale… C’est un italien. »
Quiconque aurait surpris leur conversation se serait demandé en quoi la troisième information était importante. Mais Akuma savait. Ainsi, elle se positionna face à la fenêtre après quelques acrobaties avant de l’ouvrir sans peine et de la refermer aussitôt après être passée. Pas le moindre bruit, ni le moindre courant d’air.
Une fois à l’intérieur de la pièce, ce qui la frappa le plus n’était pas le fait qu’elle avait été richement décorée, ni même l’horrible portrait XXL qui avait été accroché en face de la fenêtre. Non, ce qui l’interpella fut l’immense désordre qui y régnait, comme si un maelström s’était généré de lui-même… Ou qu’un cambrioleur était déjà venu faire son marché.
C’est quand elle s’approcha de la porte, après avoir pris grand soin de ne toucher à rien pour ne pas faire de bruit, qu’elle sentit que quelque chose clochait pour de bon. Rien ne se passait jamais vraiment comme prévu, c’est vrai, mais cette fois-là c’était différent. Le frisson qui se manifesta le long de sa colonne vertébrale lorsqu’elle entendit un bruit étrange provenant de derrière la porte la dissuada de sortir tout de suite et la cloua presque sur place. La jeune femme colla un œil contre la serrure.
Horreur.
Non seulement l’homme avait été crucifié sur une croix disposée à l’envers, mais en plus il lui manquait sa tête et une bonne partie de ses vêtements. Quelqu’un était non seulement venu cambrioler la pièce, mais en plus il avait effectué un sacrifice particulièrement macabre. Pas bon du tout, ça…
C’est un léger bruit qui attira son attention. Elle évita le premier coup de justesse, mais ne fut pas assez rapide pour esquiver le second, qui l’envoya un peu plus loin.
– Tu t’es perdu, gamin ? dit l’homme qui était sorti de l’ombre. Ah, pardon. Gamine, rectifia t-il en observant la poitrine de son adversaire.
Akuma se releva en dégainant son katana. Silencieuse, elle se plaça en position de combat.
– Oh ! Je dois avoir peur ? Demanda t-il en faisant une moue faussement effrayée qui fut vite remplacé par un rictus.
– Ferme-là et amène-toi ! Konjônashi!
Ombres parmi les ombres, les deux adversaires tournoyaient, valsaient tels deux amants entamant une danse meurtrière. Akuma para de nombreux coups, en reçut certains – dont un particulièrement puissant qui lui donna l’impression d’être marquée au fer rouge au niveau de la poitrine pendant l’espace d’une demi-seconde – mais elle ne parvenait pas à le toucher sérieusement, sinon très peu. A peine quelques entailles et autres éraflures, mais rien qui lui fasse cesser le combat pour de bon. Hors, il fallait qu’elle fasse vite si elle ne voulait pas se fatiguer au point de ne plus arriver à esquiver ses coups. Et elle ne pouvait pas lui cracher au visage à cause de son masque, de sa façon de bouger et de l’exiguïté des lieux. C’est quand il fut proche de la fenêtre qu’une idée lui vint.
Une botte bien placée parvint à le lester de l’un de ses bâtons. Ainsi désarmé, il para moins bien les coups de la lame d’Akuma, qui le força à reculer de plus en plus. Et quand il se retrouva acculé, elle le tint en joue de son arbalète de poing.
Ce qu’elle n’avait pas prévu, c’était le fumigène caché dans sa main. Elle eut à peine le temps de voir son assaillant sourire qu’il disparut presque aussitôt.
Quelques instants et une insulte plus tard, Akuma était dehors, repassant par le chemin qu’elle avait pris pour l’aller. Elle avait récupéré le bâton électrique comme trophée, mais était dépitée. Qu’allait-elle dire à son Maître ? Que l’homme est mort, mais pas de sa main ? Et qui était son assaillant, d’ailleurs ? Peut-être que ce bâton lui permettrait d'en savoir plus sur cet homme arrogant qui n’a pas hésité à décapiter un homme et à se moquer d’elle.
Il ne perdait rien pour attendre...
Liberté.
Pour Akuma, le cadre était parfait pour exécuter la mission qui lui avait été confiée. Tel un spectre fuyant la lumière, le démon filait tout droit jusqu’à son objectif. Son Maître lui avait donné l’ordre de s’occuper du cas d’un homme. Un politique, ou un magnat, elle ne se rappelait plus trop. De toutes façons, elle s’en moquait ; seul importait comment il entrerait à la morgue, c’est à dire les pieds en avant. Si l’on retrouvait jamais son corps, ce qui pouvait être une possibilité. Mais d’abord, avancer.
Ténèbres.
A pas de loup, elle se faufila jusqu’à une rangée d’immeuble un peu plus hauts que les autres. Ils avaient l’air plus récents, aussi, à en juger leur apparence qui n’avait rien à voir avec ceux qu’elle venait de quitter. Elle grimpa dans un arbre, sans quitter l’abri fournit par l’obscurité. Akuma se remémora les mots prononcés par son Maître :
« 1. Opère discrètement. Comme dans toutes les missions, bien entendu, mais c’est là une absolue nécessité, Akuma. Le B.A.-BA de l’assassin – ne fais pas cette moue quand je te parle, je sais que tu le sais ! Autrement dit, pas d’effusions de sang, d’empreintes sur les murs ou de cris de terreur à en réveiller les morts. Même pour faire diversion. Personne ne doit savoir que tu as été là.
2. Ne passe pas par la porte de service, elle sera constamment gardée. Essaye plutôt par une fenêtre, à la dérobée. Celle du troisième étage, la troisième du mur nord, ne sera pas fermée.
3. Et enfin, l’information cruciale… C’est un italien. »
Quiconque aurait surpris leur conversation se serait demandé en quoi la troisième information était importante. Mais Akuma savait. Ainsi, elle se positionna face à la fenêtre après quelques acrobaties avant de l’ouvrir sans peine et de la refermer aussitôt après être passée. Pas le moindre bruit, ni le moindre courant d’air.
Une fois à l’intérieur de la pièce, ce qui la frappa le plus n’était pas le fait qu’elle avait été richement décorée, ni même l’horrible portrait XXL qui avait été accroché en face de la fenêtre. Non, ce qui l’interpella fut l’immense désordre qui y régnait, comme si un maelström s’était généré de lui-même… Ou qu’un cambrioleur était déjà venu faire son marché.
C’est quand elle s’approcha de la porte, après avoir pris grand soin de ne toucher à rien pour ne pas faire de bruit, qu’elle sentit que quelque chose clochait pour de bon. Rien ne se passait jamais vraiment comme prévu, c’est vrai, mais cette fois-là c’était différent. Le frisson qui se manifesta le long de sa colonne vertébrale lorsqu’elle entendit un bruit étrange provenant de derrière la porte la dissuada de sortir tout de suite et la cloua presque sur place. La jeune femme colla un œil contre la serrure.
Horreur.
Non seulement l’homme avait été crucifié sur une croix disposée à l’envers, mais en plus il lui manquait sa tête et une bonne partie de ses vêtements. Quelqu’un était non seulement venu cambrioler la pièce, mais en plus il avait effectué un sacrifice particulièrement macabre. Pas bon du tout, ça…
C’est un léger bruit qui attira son attention. Elle évita le premier coup de justesse, mais ne fut pas assez rapide pour esquiver le second, qui l’envoya un peu plus loin.
– Tu t’es perdu, gamin ? dit l’homme qui était sorti de l’ombre. Ah, pardon. Gamine, rectifia t-il en observant la poitrine de son adversaire.
Akuma se releva en dégainant son katana. Silencieuse, elle se plaça en position de combat.
– Oh ! Je dois avoir peur ? Demanda t-il en faisant une moue faussement effrayée qui fut vite remplacé par un rictus.
– Ferme-là et amène-toi ! Konjônashi!
Ombres parmi les ombres, les deux adversaires tournoyaient, valsaient tels deux amants entamant une danse meurtrière. Akuma para de nombreux coups, en reçut certains – dont un particulièrement puissant qui lui donna l’impression d’être marquée au fer rouge au niveau de la poitrine pendant l’espace d’une demi-seconde – mais elle ne parvenait pas à le toucher sérieusement, sinon très peu. A peine quelques entailles et autres éraflures, mais rien qui lui fasse cesser le combat pour de bon. Hors, il fallait qu’elle fasse vite si elle ne voulait pas se fatiguer au point de ne plus arriver à esquiver ses coups. Et elle ne pouvait pas lui cracher au visage à cause de son masque, de sa façon de bouger et de l’exiguïté des lieux. C’est quand il fut proche de la fenêtre qu’une idée lui vint.
Une botte bien placée parvint à le lester de l’un de ses bâtons. Ainsi désarmé, il para moins bien les coups de la lame d’Akuma, qui le força à reculer de plus en plus. Et quand il se retrouva acculé, elle le tint en joue de son arbalète de poing.
Ce qu’elle n’avait pas prévu, c’était le fumigène caché dans sa main. Elle eut à peine le temps de voir son assaillant sourire qu’il disparut presque aussitôt.
Quelques instants et une insulte plus tard, Akuma était dehors, repassant par le chemin qu’elle avait pris pour l’aller. Elle avait récupéré le bâton électrique comme trophée, mais était dépitée. Qu’allait-elle dire à son Maître ? Que l’homme est mort, mais pas de sa main ? Et qui était son assaillant, d’ailleurs ? Peut-être que ce bâton lui permettrait d'en savoir plus sur cet homme arrogant qui n’a pas hésité à décapiter un homme et à se moquer d’elle.
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